En cette période de confinement, amusant de voir ce qui ressort.
Les groupes Whatsapp re-connectent des cousins éloignés, et des amis qui ne s’étaient pas vus depuis quarante ans… Et a chaque fois on s’extasie sur des photos vieilles d’un demi siècle .
On se régale d’une sortie d’une heure, que l’on s’impose par hygiène, hygiène que l’on n’avait pas quand on avait toute liberté de le faire.
Et je bricole avec ce que j’ai. Jamais autant réparé, recyclé, réutilisé. Fini le temps des voyages incessants aux magasins de bricolage, pour aller acheter LE truc indispensable aux travaux en cours.
Finalement, on revient inconsciemment aux fondamentaux
Une relation familiale qui est ce qu’on a de plus précieux et que l’on entretient
Une hygiène de vie qui prend soin de son corps, un peu de sport au lieu du bistro ou de la télé
Et une économie de choses, d’objets, avec une vie où l’on utilise ce qu’on a, tout ce qu’on a.. et on a tellement.
Une autre découverte de ce confinement, c’est que je peux vivre deux mois avec deux chemises, celle qui est sur moi et celle qui sèche… quel gaspillage de biens et d’argent dort dans mon placard ..
[…] *Faire avec ce que l’on a. En y consacrant le temps nécessaire plus que la furie carbonée. […]
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[…] * Faire avec ce que j’ai ? Ça me rappelle quelque chose. […]
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