Les escargots n’ont plus qu’à bien se tenir

Rentrant à vélo la nuit tombée, à peine le portillon poussé deux vers luisants nous attendent, à un mètre l’un de l’autre, nous encadrant, tentant sans doute de s’illuminer la vie d’un amour naissant.

Cela fait plusieurs décennies que je n’avais plus vu ces animaux, souvenirs d’enfance, symboles de nuit d’été en vacances.

Vélo posé, je vais les admirer de plus près. Non, ce ne sont pas des led de téléphone jeté par dessus le mur, chose qui serait moins inhabituelle. Ils brillotent, rayés, de leur feux. Hymne à la vie qui reprend au milieu de ce monde de béton?

J’attribue leur retour à la tonte inhabituelle de mon gazon qui vaut des sourires de la part des visiteurs. Ou au bannissement d’engrais . Ce ne sont sans doute pas les seules raisons, mais, oui, globalement je veux y voir le fait que l’on évolue dans le bon sens.

Et vous saurez tout sur le lampyre, et sur le titre de ce billet, en deux minutes ici

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