J’ai beaucoup aimé un papier sur Uber*, qui permet aux jeunes des quartiers d’entreprendre, et de tailler la bavette avec des PDG en les véhiculant.
Covoiturage , je l’ai déjà mentionné**, m’a aussi fait rencontrer des gens que tout dans la vie sépare de moi.
Air BnB , tout récemment, m’a permis de m’inviter chez une Barcelonaise modeste, vivant de petits boulots, et de la location de sa chambre. Encore une avec laquelle je n’aurais jamais eu normalement l’occasion de discuter .
Ils sont beaux, ces sites . En plus de provoquer la rencontre, et bien sûr pour provoquer la rencontre, ils éliminent ce qui fait que cette dernière ne se produit pas sans eux : la peur, le risque. De tomber sur n’importe qui. De se faire arnaquer . De voir son logement détérioré .
Avec la notation peer to peer, avec les assurances qui accompagnent la prestation, ils ont fait tomber peu à peu toutes ces barrières .
Bravo, et merci .
Ah , problème . Le fisc se retrouve complètement court-circuité par le business peer to peer … Alors il résiste, c’est normal. Le sénat fait des propositions, les candidats également … Par pitié, simple, simple… ne tuons pas ces beaux mouvements.
Encore un argument pour la taxation flat rate, prélevée à la source… et basta .
*Oh, tout n’est pas rose avec Uber, air BnB et autres . Il y a bien des critiques. Mais le role social n’est pas contesté. Et, pour une fois, l’europe ne pousse pas a la roue de la complexification…
[…] et ca passe par une position simple et sans ambiguité vis à vis de l’économie du partage, vite, […]
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