Sel, vous êtes discret, invisible, non reconnu. Mais combien efficace. Au mieux, on vous ignore. Si vous manquez de goût, vos amis vous jettent dehors et vous foulent aux pieds, dit le Livre*… Bref, au pire vous ne servez plus à rien**.
Lumière, vous êtes explicite et visible***.. dans un sens bien plus efficace, mais si vulnérable, comme la flamme de la lampe qui affronte la tempête. On ne vous pardonnera rien. Vous devrez savoir trouver là ou vous ressourcer, pour rallumer la flamme et retourner affronter la tempête…
Elle me parle, l’homélie de ce matin. En phase avec la météo du jour, elle doit aussi parler à François Fillon en ce moment.
Surtout qu’entre sel et fiel le goût est parfois subtil à discerner. Et qu’on peut avoir l’impression que la tempête est sélective.
Plus j’y pense, plus je trouve que le hasard fait parfois mieux les choses…
* Ce que dit wikipedia sur le sel de la terre
** quoique « remblai de voie rapide », c’est un destin qui peut faire vibrer certains.
*** et sur la lumière du monde
Merci pour ce complément à l’homélie de ce matin.
A réfléchir, comment pouvons nous donner du « goût » à la vie, être vraiment le « sel » … Une « sacré » remise en cause à faire.
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Oh, je pense que juste ne pas oublier le sel chaque matin, et être nous mêmes, ça devrait faire un bout du chemin. Il y en a un qui nous accompagne, en plus. Et , pour ne pas oublier le sel, le cahier de kifs … https://abahli.com/2016/10/20/positive-gratitude-7-ans-de-gagnes/ 😉
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