Ceux qui voudraient connaître GreMiel peuvent démarrer ici.
Comment fixer mon prix ? Sûrement pas en fonction de mon coût de revient, même sans compter mes heures ce hobby est une danseuse. Ce n’est pas pour rien que l’on ne peut se dégager de salaire avec moins de 300 ruches..
Je retrouve finalement le dilemme du bénévole. Avec la même conclusion : priorité aux actifs.
Donc, dans la boutique le GreMiel est le plus cher du lot. Pas de beaucoup, juste ce qu’il faut pour ne pas casser les prix de ceux qui vivent de leur activité.
Et pour les amis, s’il n’est pas cadeau, il n’est pas donné : un peu au-dessus du miel que l’on trouve au marché, là où on ne supporte pas le coût ni le stock d’une boutique.
Comme cela, j’ai l’esprit tranquille : mon loisir ne porte préjudice à personne.
Et la marge de la boutique ? Si elle marge fort, elle a tout interet a vanter GreMiel, non ? Le dilemne de l’intermediaire…
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Je n’ai aucune objection a la marge de la boutique, au contraire. Dans le cas présent elle fait très bien son job, qui mérite salaire:
assurer l’ouverture et la disponibilité du GreMiel toute la journée
en tenir un stock
savoir le vendre et conseiller les clients (elle a -je crois- participé à un stage de dégustation du miel à l’université du vin de Suze la Rousse) de manière indépendante de ses fournisseurs
élaborer le message promo (elle l’appelle « miel zéro kilomètre », vu qu’il ne circule qu’en vélo).
Tout cela est une réelle valeur ajoutée, que ne recherchent pas les copains qui ont leur miel quand ils passent à la maison, et l’achètent « parce que c’est le miel du copain » sans autre garantie de qualité…
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