Le contexte économique étant ce qu’il est, j’ai enfin pris une décision sur l’utilisation de mon peso* : je l’ai troqué contre 50 000 travailleuses.
Certes, le raccourci est un peu rapide, il y a eu un peu de médiation financière. Mais il n’en est pas moins vrai qu’une ruche et sa colonie valent exactement un napoléon. On change de poésie, on passe d’un risque de vol à celui de se faire piquer, et ce qui était matière inerte et inaltérable est devenu un monde si délicat..
Mais c’est cohérent avec l’investissement en bétail**, vin ou forêt, et l’impact économique est indéniable: la France importe la majorité de sa consommation de miel***. Alors une fois de plus le nationalisme a repris le dessus, ça occupera mes vacances françaises****…
* si l’histoire de mon peso vous intrigue..
** et si vous vous sentez une âme d’investisseur bovin
*** l’économie du miel, et plus , c’est par là…
**** vous avez dit patriotisme touristique ?
Magnifiques ces judicieux rebondissements dans tous les sens, générés par une vision critique de tous les courants qui nous entrainent. Comme quoi le scepticisme peut avoir du bon !
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Merci de ce commentaire…Je ne suis pas certain que tous les « rebondissements » soient si judicieux que cela, l’avenir dira…
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