Ce matin, sur mon vélo, je suis optimiste.
Non pas à cause du Brexit, dont je ne suis pas encore informé vu le manque d’autoradio sur mon véhicule, mais parce qu’il fait beau, que je suis forcé de m’arrêter dans ce qui ressemble à un embouteillage de vélos, et parce que (du coup?) la rocade que je surplombe est étonnamment fluide.
Non pas à cause des tarifs Easyjet, bas à en pleurer du CO² liquide, d’un aller retour Barcelone à 22 euros, mais parce qu’il y a quand même une justice avec un billet qui triple avec les taxes et autres frais.
Parce que mon cher Lilo m’apprend que Ocean cleanup est passé au next level.
Parce que Le Parisien m’apprend que le photovoltaïque peut désormais alimenter toutes les clims de France . C’est quand même un heureux hasard qu’il fasse chaud quand il y a du soleil que le photovoltaïque produise le plus au moment des pointes de climatisation. Elle n’est pas bien faite, la vie ?
L’oreillette bannie me dispense ma chanson fétiche, et je tends la main à mes congénères, qui me répondent fraternellement, une fois de plus, avec un grand sourire.
La soirée de hier a été joviale, quoique triste. Mais ce matin, cela redémarre à nouveau . Optimiste impénitent . Ah, espérance…
[…] des matins optimistes, je vous ai déjà parlé des 3 positive thinkings . Je ne pensais pas être autant dans le […]
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